Un couple d'âge mûr discute de ses finances réussie en s'asseyant à la table et en regardant l'ordinateur portable.

    L’assurance vie s’impose comme un outil incontournable de la planification financière, offrant une solution flexible et sécurisée pour se constituer et transmettre un patrimoine. Parmi les modes de monitoring disponibles du contrat, la gestion pilotée connait un succès croissant, attirant de nombreux épargnants par sa simplicité et son expertise professionnelle. Les détails dans cet article.

    Gestion pilotée et gestion libre : comprendre les enjeux

    Le choix entre une gestion libre et une gestion pilotée repose sur l’appétence au risque et l’expertise financière de l’épargnant.

    Dans le premier cas, ce dernier choisit librement les supports d’investissement et ajuste son allocation d’actifs selon ses convictions et sa tolérance au risque. Ce modèle convient particulièrement aux investisseurs aguerris qui possèdent une connaissance approfondie des marchés financiers et préfèrent assumer la pleine responsabilité de leurs placements. En revanche, avec la gestion pilotée, le détenteur du contrat délègue cette responsabilité à un professionnel.

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    Gestion pilotée : une approche simple et experte

    ImportantLa gestion pilotée confie la supervision de son assurance vie à un expert, qui sélectionne et régit les supports d’investissement en fonction du profil de risque défini par l’épargnant.

    Ce mode de gestion vise à optimiser la performance du contrat sur le long terme. En diversifiant les placements sur une large gamme de véhicules, le gestionnaire réduit le risque lié à un seul support et maximise les chances d’atteindre les objectifs financiers du souscripteur. En outre, ce dernier peut à tout moment consulter son portefeuille d’investissement, modifier son profil de risque ou demander le rachat de son contrat.

    Optimiser les coûts de la gestion pilotée

    Si la gestion profilée séduit par sa simplicité, il est essentiel de prendre en compte l’incidence des frais sur les rendements finaux du contrat d’assurance vie. À cet égard,

    Le souscripteur doit faire preuve de vigilance et examiner attentivement la nature et le montant de ces frais, y compris les frais de mandat et les frais des unités de compte.

    En moyenne, leur coût total avoisine les 3,14 %, contre 2 % pour la gestion libre.

    Bien définir le profil d’investisseur

    La gestion pilotée s’articule autour de profils de risque définis, allant de prudent à dynamique. Chacun d’entre eux correspond à une allocation d’actifs et à une stratégie d’investissement spécifiques. Plus l’appétence pour le risque augmente, plus les bénéfices potentiels des placements réalisés sont élevés, ce qui justifie l’intérêt de cette approche.

    Enfin, le choix du gestionnaire est déterminant pour le succès de cette option.

    Aussi faut-il privilégier les professionnels reconnus pour leur expertise et leur transparence, notamment ceux qui travaillent en architecture ouverte et proposent une large gamme de produits.

    Un conseiller financier compétent guidera l’épargnant dans la sélection du profil adéquat et des véhicules d’investissement les plus adaptés à ses besoins.

    À retenir
    • L’assurance vie offre une multitude de possibilités d’investissement, parmi lesquelles la gestion pilotée, qui gagne en popularité.
    • Ce mode de gestion, confié à un professionnel, présente des avantages indéniables, mais implique également des frais à considérer.
    • Déterminer son profil d’investisseur et choisir le bon gestionnaire sont des étapes cruciales pour maximiser les bénéfices de cette approche.
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    Rédaction meilleurtaux Placement

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